Corsica triathlon

Publié le 7 Mai 2017

Chapitre 21 : Une 1ère sur l'île de Beauté ---------------------------------------------

La Corse

Un super séjour !

Ma première fois sur l’île

Seul bémol : le trajet. Long. Trop long à mon goût.

La prochaine fois (que j’irai) (car j’y retournerai au moins 1 fois : pour aller faire le GR 20), je prendrai l’avion. Pour cette fois, c’était pas faisable à cause de tout notre matos (fringues civiles et de sport, et surtout les vélos !)

Bref, hormis cette logistique chronophage, on s’est régalé.

Dimanche 9 avril au soir, je suis toujours à Méribel, où nous faisons une dernière soirée à la brigade. Bien sympa. Le lendemain, chargement de la Skoda, nettoyage, et retour Chambéry.

L’aprem, on retrouve tout l’escadron rassemblé sur la place du rapport. Ça fait du bien de revoir les potes (on s’est peu voir pas vus depuis 4 mois). Et le soir, c’est parti pour exactement 3 semaines de vacances !!! Ça va l’faire.

Mardi soir, je suis au cinoche pour « Montagnes en Scène », un festival de film de montagne. Très cool.

Mercredi, nettoyage de l’appart cette fois, histoire d’accueillir mes convives dignement pour midi. Première binouze avalée (début du grand n’importe quoi éthylique de la semaine ; c’est simple, y a pas dû avoir beaucoup de repas sans alcool…). Sortie vélo Tour du Lac du Bourget. Toujours aussi beau pour moi, tandis qu’eux deux (Denis et mon père) s’émerveillent. Les cannes sont là. Tout roule. Soirée en ville devant un match de foot (je ne me rappelle plus de l’affiche. Désolé) où chacun met la sienne, puis rebelote. J’en viens même à ramener la BMW.

Lendemain matin, Jeudi, les regrets qui vont avec (« Pourquoi on a bu autant hier soir ? »). Les retrouvailles ? L’alcoolisme ?... Sait pas. On se lève, déjeune et on file direction le sud. Grenoble, Col de la Croix Haute, pause à Laragne (pour choper quelques fruits et des sandocs), Sisteron, et arrêt pique-nique juste après. Impec. On finit jusqu’à Toulon. Toujours aussi bien accueilli chez Gilles. Petite sortie trail, où les cannes ont subi la cuite d’hier + les 5h de trajet voiture. Dures. A l’issue, on teste l’eau sur la plage, froide. Même en combar, ce sera pas évident. Ça craint pour la Corse…
Et puis apéro. Très copieux. Repas tardif sans trop avoir faim (après avoir tapé plus que de raison dans le saucisson, les olives, et l’anchoïade…). Je vais pas me plaindre non plus. Je profite (un peu trop)(limites très friables devant la bouffe…).

Vendredi. On part le soir pour Ajaccio, mais faut bien qu’on occupe la journée.
Sortie vélo chaotique. Je vous explique.
Sur le papier, ça avait l’air super. Mais le sort en a décidé autrement pour moi. Traversée de Toulon pour monter au Col du Corps de Garde. Les cannes sont là, et même dans les rampes à 14-15% des lotissements péri-urbains, ça monte bien. Le col est sympa et on bascule pour rallier Evenos (petit village perché magnifique). La descente (route d’un gros mètre de large) est très périlleuse (mais heureusement peu fréquentée). On descend sur Ollioules pour aller monter au Mont Faron (au-dessus de Toulon). Les 2/3 de la sortie sont faits, et là, de nouveau dans Toulon, PSSSSSTTTTTTT, 1ère crevaison. Pour moi. Super… Ça fait toujours plaisir. On répare, tandis qu’un gonz qui passe par là, nous dit qu’il a crevé hier matin et que « c’est à cause de mecs qui ont balancé des trucs sur la chaussée ». Bref, on repart, après quelques mètres, CRAC, saut de chaîne, qui vient se loger entre le cadre et le petit plateau. Obligé d’y mettre les mains et de forcer comme un russe pour la déloger de son emplacement. Les mains noires de camboui, on peut enfin monter au Faron. Les cannes vont bien, et j’en profite pour prendre la roue des mecs qui nous doublent dans l’ascension et les attaquer au sommet. C’est con, mais ça me fait rire !! Petite pause au sommet, jolie vue sur la rade. Et là, ça va se corser (même si on n’y est pas encore…). Je croyais la descente sympa, c’est tout le contraire. Le revêtement est dégueulasse, plus les ornières. Bref, pas plaisante, surtout avec l’audi A3 devant qui me gênerait presque. Au bout de 5-6min, PPSSSSSSTTTTTT, c’est encore pour moi. Là c’est la loose. Je me pose le long du parapet, et commence à réparer. Les deux arrivent une petite minute derrière et constatent que ça ne m’amuse plus vraiment. Je suis même prêt à rentrer à pied. Denis me file sa chambre à air de rechange, regonflage et go. Et à partir de maintenant, j’ai l’impression de rouler sur des œufs, en essayant de mettre le moins de poids possible sur mon vélo. Pas naturel. Et on finit la descente, et juste en bas, PSSSSSTTTTTTT. Là j’en peux plus. 3e fois la roue avant… J’ai qu’une envie c’est balancer le vélo par-dessus le pont et tout arrêter. Alors qu’on n’est pas encore en Corse. J’en viens à me demander s’il faut que j’y aille. Je suis tellement gavé. Je leur dis que je finis à pied, qu’ils n’ont qu’à rentrer eux. Ils m’en dissuadent et la dernière chambre à air du groupe y passe. Il reste une dizaine de bornes par la piste cyclable urbaine, et là encore c’est avec ce sentiment que je vais crever à chaque aspérité de la route que l’on rallie la villa. Je tire une gueule de trois pieds de long… Sans nouvelle crevaison. Ouf. On est arrivés et je suis blasé comme jamais. Douche. Déjeuner vers 15h. Et on fait les bagages pour aller se poser boire un canon sur la plage, avant de se rendre à la gare maritime vers 18h.
Ferry. On retrouve les potes de Chambéry tri. Je tire un peu moins la tronche. Pique-nique du soir, et dodo. 1ère « croisière » pour ma part. La mer est calme. Le sommeil me prend.

Samedi matin. Pti déj. On débarque à 7h du mat, 3e voiture à sortir du ferry, bien bondé. Bon ça !
Et la Corse ! Le soleil se lève doucement et déjà, le golfe d’Ajaccio m’apparait bien sympa. On arrive au camping à Porticcio, les clés nous sont filées (royal), on s’installe. Courses. Mécanique : je rends sa chambre à air à mon père et je répare encore ! Espérant que ça tienne, mais sans trop y croire. 3 crevaisons le même jour, c’est sûrement qu’il y a un souci. Mais aucun de nous 3 ne l’a détecté. Ce sera pour cet aprem…
On déjeune. Et sortie vélo. Direction lac de Tolla. Bastellicaccia, D3, et au bout de 11km au total, tirant la langue au cul du groupe de tête (des furieux), sur un bitume nickel, PSSSSSTTTTTT. 4 !
C’en est trop, j’balance le vélo dans l’herbe, par-dessus le parapet. Les mecs devant s’arrêtent et viennent m’aider. Ils ne comprennent pas mon habitude, évidemment. Je leur explique. Ils m’aident à réparer tandis que Denis et mon père arrivent à hauteur et constatent que c’est encore moi au bord de la route… On examine l’intérieur du pneu et le fond de jante. Julien nous conseille de changer le fond de jante qui présente des petites failles. Où la chambre très gonflée se pince peut-être. Va bien falloir essayer quelque chose toute façon. Ou arrêter de rouler…
Retour camping « sur des œufs » > Porte vélo > Décathlon > conseils du vendeur (« Moué c’est peut-être ça, sans en être certain ») > Nouveaux fonds de jante > Nouvelles chambres à air à 9balles (au lieu des pourries à 2balles de d’habitude) > Retour camping où j’avais 2 pneus neufs également.
Et c’est reparti pour la mécanique. Tout est neuf : fonds de jante, chambres, pneus. Gonflage. Nettoyage du vélo. « Là, si ça veut pas, ça veut pas. ».

Dimanche. Verdict !
On monte en voiture au parc accrobranche. (Oué je sais c’est un stage de triathlon à la base…). Super site, juste assez dur pour nous. Le parcours le plus exigeant nous a bien piqué ! 15h, retour au camping A VELO. Denis ramène la BMW. On attaque la descente avec mon père. Evidemment, je descends comme un papi, guettant le prochain psssssttttt. Mais il n’arrivera pas. La sortie est très belle, sur les balcons, des petits villages typiques surplombent la vallée que l’on a pris en voiture à l’aller. Une soixantaine de kil, et je me sens un peu soulagé. Sans être certain que ça va rouler toute la semaine. Apéro individuel (enfin à 3) tout en préparant le dîner, puis collectif. Bouffe. Dodo.

Lundi. Gros petit déj comme d’hab : charcut locale (coppa, lonzo), œufs au plat + tartines confitures/beurre…
Le matin, on teste l’eau de la Méditerranée en Swim&run. 10’ natation avec combar. Faut tout. 10-12’ à pied, en combar !!! (j’voulais tester) Fait chaud ! (et les automobilistes et passants se posent probablement des questions concernant notre santé mentale). 10’ nat combar. Transition, pause de la combar. Course en maillot de bain. Ca va pas bien mieux (je digère le petit déj, trop copieux comme toujours). Retour dans l’eau, c’est toujours aussi bon de reprendre de la fraicheur. Faut bien tout niveau température mais bon. Et dernière boucle à pied : 20’ maillot. Digestion terminée, les cannes reviennent. Et dernier tour dans l’eau depuis le ponton. 12’. Et finex. Session swim&run super sympa partagée. Déjeuner.
Aprem, sortie avec Christian et les filles. Montée à Pietrosella, où je me sens collé (et au final non). Difficile d’appréhender les pourcentages sur ces petites routes sinueuses. Je fais la montée devant, et redescends chercher le gruppetto. Impec. Il fait beau et chaud, et je ne crève pas. Le pied ! Et puis c’est pas désagréable de rouler avec des nanas ;). Belle sortie où j’aide un peu Virginie notamment à basculer en haut de certaines bosses et sur les quinze derniers kil sur la côte où elle est collée ! N’arrive pas à rester dans le sillage de mon gros cul. Donc main dans le dos, je pousse. Pas de soucis.
Le soir, ça ne change pas. Apéro. Bouffe diététique (on a Denis comme super cuistot). On aurait même perdu du poids si on n’avait pas autant canonné… Faut dire, j’ai prévu la quantité et la qualité : 2 skys (Talisker, Cardhu), 1 rhum vieux (HSE-Martinique) et un Génépi. + 1 Oban acheté sur place (au cas où). Bref, avec les packs de Pietra (binche locale : blonde, rouge et ambrée), on n’a pas manqué ! De quoi bien dormir.

Mardi. Direction les bains de Caldane (source géothermique, où des bains ont été creusés pour bénéficier d’une eau à 39°C naturellement captée et recyclée). Ce sera pour l’après sortie. Un aller-retour au Col de Bavella pour en admirer les Aiguilles du même nom. Montée agréable (1200 de déniv au total quand même) et les bonnes cannes dans la dernière partie où je fais encore cavalier seul, avant d’aller récupérer mes compères (Elena, Denice et la paternel). Photos là-haut, déjeuner à Zonza (bonne adresse, même s’il ne faisait pas chaud. On s’est un peu pelé). Descente > photos Ste Lucie de Tallano > porte vélos > Bains > retour Porticcio. Journée bien cool. Les sensations reviennent. Apéro indiv et co. Bouffe. Dodo. On change pas une équipe qui gagne. Demain, y a du taf. 100kil autour des calanques de Piana. Ça promet.

Mercredi 19 avril. Pti déj. Liaison voiture et départ de Sagone. Un groupe d’une douzaine, dont mon pote Matthieu (2t) de l’escadron. On va se jauger, même si je le soupçonne d’être plus fort que moi (à en croire ces posts Facebook style « 2h à 33km/h de moyenne »). L’ascension jusqu’au col de Sevi (1101m et autant de déniv du coup) se fait en 3 temps. 1ère partie, personne ne veut rouler, je reste un peu avec tout le groupe alors que le père part devant à son train. Rapidement, ça me soule de me trainer à mouliner, donc je pète une attaque pour rejoindre le père. J’y parviens et on finit les 2 kil jusqu’au premier village. Je redescends chercher les derniers et ça se traine. La sortie va être longue, même si on rigole bien avec Matt qui filme et raconte des conneries. 2e partie, une rampe à 13 ou 14% nous accueille sur 5-600m. Ca picote. Et une fois en haut, je descends aider Vir. Ça se raplatit, je reste en fond de groupe avec Vir et Matt, avant que ça me re-gave. Les autres sont devant, bien devant même, et il est peut-être déjà trop tard pour « aller prendre les points en haut ». Début 3e partie, j’annonce que je file mais Matt ne me suit pas (dommage j’aurais bien aimé voir s’il pouvait me suivre). Je reviens sur les petits groupes (Denis et Armelle, le père, quelques jeunes, Elena, les parents des jeunes, et 2 jeunes encore) avant la rampe finale. Le col est en vue, 1 gros km plus haut, et il reste Vincent à aller chercher. La pente se dresse devant et tout le monde est englué. Y a au moins 11-12% sur le dernier kil. Ça tire mais je m’accroche. J’arrive à hauteur du leader à 3-400m de la bascule. Mais pas question de partager le maillot à pois, il me dit qu’il va essayer de rester avec moi, mais je remets une grosse louche au bluff (une attaque quoi !) et il craque. Le col est pour moi. Parfaitement géré tout ça.
(Et pour éviter de me faire chier et de me cailler en haut,) je redescends chercher le fond du groupe. J’y trouve Vir, que j’aide en la poussant dans le bas du dos. Ça revient sur Armelle et Denis. Et sur le petit groupe devant. Je prends une pause, Matt essaie à son tour mais a du mal à garder l’équilibre, il n’est pas habitué. Je reprends mon labeur et ça envoie. C’est quasiment une attaque qui surprend Mat qui a du mal à recoller. Excellent. 200 derniers mètres compliqués où on dépose 2 jeunes mais Matt parvient à revenir et nous passer à 50m du col. Belle sensation quand même. Impec. Petite photo au col et très très longue descente jusqu’à Porto (au bord de la mer où nous avons prévu de déj) où l’on croise des cochons noirs, des vaches et des paysages de folie. Vraiment. Cette roche rouge et cette baie au loin. Splendide. On rallie Porto où l’on retrouve le groupes des jeunes (grosse quinzaine) et Vincent Gomez. Le 1er resto refuse d’accueillir les 30 cyclistes affamés mais la pizzeria en face accepte. On déjeune, sans avoir hyper chaud. Bis repetita. Et retour sur les biclous via Piana et ses calanques. On repart tranquillement, je me retrouve dans le dernier paquet (7-8 derniers). Et ne me suis pas rendu compte que les premiers sont repartis bille en tête faire l’ascension. Je finis par faire comme tout le monde, et met les watts dans les premières pentes. Je tiens la plaque (grand plateau) sur les deux premiers kil, tout en revenant sur les jeunes et leurs parents, un à un. Je ne compte pas mais je sens que je me rapproche des meilleurs. Le père est en vue, et est inexorablement avalé. J’arrive ensuite à poser Théo Gomez (pourtant pas manchot) et un de ses potes, mais ne parviendrais pas à aller chercher Lucas et Vincent Gomez (pour le coup vraiment plus forts que moi, rien à regretter). On redescend vers les plus lents qui ont plus de 2kil de retard… On bascule tranquille puis Matt me motive à envoyer du steak pour revenir sur les premiers qui ont déjà basculé vers Piana. Ça roule fort, je prends le relais et il finit par lâcher sur du petit faux plat montant. Bon signe.
Le groupe se rassemble à Piana et grande descente quasiment jusqu’à Cargèse. Là encore, sans avoir rien prévu, j’attaque la descente une vingtaine de secondes derrière Matt, puis je me mets dans la tête d’aller le chercher. Ça descend très fort et je reviens petit à petit, puis le passe. Il s’accroche, normal, mais je suis en forme. Surtout bien débile à ce moment-là. Les sensations sont revenues et je suis plus qu’à l’aise sur mon vélo (ça change de dimanche où je descendais comme une gonzesse…). Prise de risques mesurée mais je « fais le show », on va pas se le cacher. D’autant qu’on a une voiture suiveuse, qui s’est calée derrière moi et qui fait crisser les pneus en sortie de virage pour arriver à suivre. Le bonheur ! « A tombeau ouvert » jusqu’à retrouver du plat, où le conducteur me passe en me félicitant pour ma descente. Je garde les watts, il reste des jeunes à aller chercher. Mini col (Torraccia- 101m !) avant de basculer sur Cargèse (point de départ des jeunes). 13 derniers kil avec les 12 cyclistes du départ pour rallier Sagone (notre point de départ). Sans soucis, Denice nous fait même la pancarte à l’arrivée. Journée géniale. Seul hic, je paume ma Timex Ironman (montre). Je l’aimais bien, fait chier.
Retour. Apéros. Bouffe. Dodo.

Jeudi. Dernier jour (retour ferry vendredi 8h). Petit déj.
Matin, sortie trail en groupe. Une bonne vingtaine. Sympa et exigeant. On fait un peu les cons à crapahuter sur les rochers. Les cannes sont pas au top (efforts de la semaine) mais on fait avec. L’aprem, dernière sortie vélo en solo : je récupère ma petite pompe (laissée le 1er jour sur le bord de la route pendant la réparation de la crevaison) et teste la bosse à 14% dans Porticcio au retour. Ça pique, comme j’aime. Je rejoins dans la foulée Denis et le père dans la mer pour quelques brassées sans combar, histoire de dire au revoir au golfe qui nous a accueillis. Impec. Et dernière soirée. Bien arrosée. Les anecdotes du coach local pleuvent. Des histoires abracadabrantesques de règlements de compte, de cochons corses morts, bourrés de coke, et parachutés d’avion au-dessus du maquis corse. Inénarrables. On finit les boutanches (génépi, rhum…) et dodo.

Vendredi. Journée transport. Lever 6h. Chargement. Nettoyage. Pet déj boulang’. Ferry (8h de jour, c’est très long). Et voiture (5h + pause dîner au chinois à Laragne. Très bon.). Ce n’est que vers 23h que j’accoste chez moi, à Chambéry. Et Denis et le père ont encore 3h de route pour rentrer à Vichy, qu’ils décident de faire dans la foulée. Courage.
Et c’est ainsi que la boucle corse est bouclée.

Les autres sur place rentreront samedi aprem mais 2 de nous 3 avaient des obligations (Denis bosse Samedi soir. Quant à moi, je décolle pour New York dimanche matin).

Dodo. Des souvenirs pleins les yeux.

Franchement un très bon séjour même si les longs trajets usent et bouffent du temps, et les crevaisons… comment dire… pètent les couilles ! Oué c’est un peu ça. Nan, malgré tout, super ambiance du club, bonnes activités, belles sorties vélos. Apéros… Tout a roulé nickel avec Denice et le padre, pas surprenant quand on repense à Embrun et Barcelone^^. Encore du bon temps de passé avec « le pti nain » et « Chou » (surnoms très récents)

Que du bon à retenir : météo, paysage, charcut, accueil corse.

Photos (ci-dessous) à l’appui

La prochaine fois, ce sera sûrement (en avion) pour s’attaquer au GR 20. Peut-être pour 2018.

Cette année, y a GTMC (+/- 18-28juillet), et peut-être un bout de GR 5 par la suite (ou autre). A voir.

Prochain récit : Bé New York. (Le récit sera un peu moins long, promis. Là, j’ai pas pu faire autrement que détailler chronologiquement les trucs sympa à raconter.)

Tchu

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Rédigé par Mathieu Leonard

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